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Projets

Financer la création de projets

Projets 2023-2024

Résumé du projet

Cette collaboration interordre permet aux élèves issus des écoles primaires les plus défavorisées de la communauté de venir au Cégep de Saint-Jérôme, et ses deux centres collégiaux, les samedis matins de l’année scolaire, afin de recevoir du mentorat axé sur l’aide aux devoirs et l’éveil en sciences de la part de collégien.nes.  Ceux-ci recevront un encadrement de la part d’une personne-ressource du cégep ainsi qu’un soutien de la part d’étudiant.e.s issus des programmes d’enseignement de l’Université pour la planification et l’animation d’activités pédagogiques.

Ce projet permet, entre autres, aux enfants du primaire de se projeter dans un parcours d’études postscolaires et de diminuer les risques de décrochage scolaire.  À ce sujet, la mission de l’École des Grands (EDG) est de contribuer à l’égalité des chances et de permettre un réel accès à la réussite éducative des élèves et étudiant.es vulnérables en utilisant comme levier l’expertise, les infrastructures et l’engagement social du réseau collégial.

L’impact est aussi notable chez les étudiant.e.s du collégial chez qui on mesure une augmentation significative des indicateurs de réussite éducative suite à la participation à l’École des Grands soit : l’autonomie, l’engagement, la perception de compétence, la motivation intrinsèque et l’attachement au cégep. Il est à noter que ce sont les collégien.nes à risque de difficultés scolaires qui sont ceux qui bénéficient le plus des retombées du programme.

Objectifs du projet

Les objectifs du programme sont doubles : soutenir la réussite éducative des collégien.nes, particulièrement ceux à risque de difficultés scolaires, et soutenir la réussite scolaire des élèves vulnérables au primaire afin de prévenir le décrochage scolaire au secondaire.

Les études démontrent que les étudiant.es de première génération ont plus de difficulté à entrevoir un parcours d’études postsecondaires.  Le fait d’apprivoiser le milieu collégial tôt dans leur parcours scolaire contribue à atténuer cette difficulté. Ce projet, prenant place dans les murs du Cégep, fait en sorte que les élèves du primaire cumulant plusieurs facteurs de vulnérabilité peuvent plus facilement s’y projeter et avoir moins d’appréhensions vis-à-vis les études collégiales. Ainsi, ce projet favorise l’accès aux études supérieures chez une population vulnérable.

Le programme contribue également au développement des facteurs de protection tant chez les mentors que chez les élèves. Ces facteurs de protection sont reconnus, dans la littérature scientifique, pour soutenir la résilience académique notamment par le développement de compétences sociales, capacité à résoudre des problèmes, développement de l’autonomie, attentes positives élevées du milieu envers l’étudiant.e, opportunités d’implication dans l’environnement, sentiment d’agir pour une cause et vers un futur, présence de soutien, relations attentionnées et engagement de l’étudiant.

Équipe du projet

Alisha Wissanji, directrice générale de la Fondation W. et fondatrice de l’École des Grands

Mélanie Ouellette, enseignante en éducation physique, coordonnatrice du projet au Centre collégial de Mont-Laurier

Pénélope Barbe, enseignante en anglais, coordonnatrice du projet au Centre collégial Mont-Tremblant

Annie Lapointe, directrice au Centre collégial de Mont-Laurier

Catherine Ricard, directrice adjointe au Centre collégial de Mont-Tremblant

Patricia Tremblay, directrice des études au Cégep de St-Jérôme

Jean-François Ouellette, conseiller pédagogique aux programmes d’enseignement, UQAT

Stéphane Lapointe, Directeur de l’UQAT à Mont-Laurier

Véronique Bonin, conseillère pédagogique, Centre collégial de Mont-Tremblant

Financement reçu

Le projet a obtenu un soutien financier du PESLAU de 138 300 $.

Projets 2022-2023

Résumé du projet

Ce projet vise à favoriser l’attractivité des jeunes envers les programmes en technologies de l’information au cégep et à l’université en les intéressant aux métiers d’avenir de ce secteur. Il s’inscrit dans un projet plus vaste qui est celui de la gestion d’une serre intelligente en fonction et installée au Collège Lionel-Groulx. Le projet est porté par des personnes employées des établissements membres du PESLAU, incluant le Cégep de Saint-Jérôme et son CCTT, le Collège Lionel-Groulx et son CCTT, et l’Université du Québec en Outaouais. Les ressources disponibles dans chacun des cégeps et CCTT permettront d’utiliser une serre technologique mobile comme laboratoire afin que les élèves du secondaire puissent faire l’expérience concrète des métiers d’avenir et des disciplines impliquées dans la gestion intelligente d’une serre. Le consortium vise à développer des ateliers et des démonstrations pédagogiques ludiques liés au thème des TI. Le projet mettra en contact les étudiants avec les études supérieures. L’application directe, la réussite d’activités pédagogiques, la connaissance des programmes en lien avec les ateliers sont des facteurs qui peuvent améliorer la projection dans les études supérieures. Les étudiants bénéficieront ainsi d’un ancrage fort, dès le secondaire, en lien avec les métiers d’avenir du secteur des TI.

Objectifs du projet

Ce projet est en lien direct avec l’attractivité des TI et l’accessibilité aux études supérieures. En participant à des activités enrichissantes dans un contexte de multidisciplinarité, les élèves du secondaire seront mis en contact avec des applications concrètes des métiers du futur favorisant leur intérêt pour ces programmes. Des étudiants en éducation de l’université agiront comme éducateurs pilotes accompagnés par les experts du projet et seront mis en contexte réel d’application de leur expertise auprès des élèves du secondaire. Les activités visent à instruire les élèves du secondaire afin qu’ils développent l’intérêt de s’inscrire dans des programmes où la demande est grande et à supporter les mesures pour augmenter le nombre de personnes diplômées en science et en génie. Ce projet permettra à l’école de jouer son rôle dans le développement de l’intérêt des élèves pour les TI. Le recrutement dans les programmes en TI doit commencer tôt pour maintenir l’intérêt envers ce secteur. Chaque activité vise à démystifier les études supérieures auprès des étudiant(e)s dans le but de leur démontrer comment les études supérieures peuvent faire une différence pour leur avenir et l’avenir des communautés et démontrer comment les diplômés d’études supérieures sont une richesse pour la société.

Équipe du projet

Sébastien Adam, Ing., PhD et directeur R&D CCTT – Génie logiciel, informatique et intelligence artificielle, Collège Lionel-Groulx

Responsable de projet et des ateliers génie logiciel, informatique, analyse des données et intelligence artificielle

Sylvain Guillemette, Ing. directeur technique CCTT et professeur – Génie électrique, Collège Lionel-Groulx

Responsable des ateliers électroniques et systèmes de contrôle

Luc Gagnon, Agronome, directeur et professeur – Agriculture et horticulture, Collège Lionel-Groulx

Responsable des ateliers gestion des serres et des cultures, analyse des données, agriculture et horticulture

Jérémi Bussières, Ing., Chargé de projets CCTT – Matériaux et composites, Cégep de Saint-Jérôme

Responsable des ateliers matériaux et composites, développement durable et responsable

À confirmer – Éducation, Université du Québec en Outaouais

Encadrement de l’aspect éducatif, participation étudiante, cohésion et structure des ateliers

Robert Turenne, Professeur – informatique , Cégep de Saint-Jérôme

Responsable des ateliers systèmes embarqués et objets connectés

Financement reçu

Ce projet a obtenu un soutien financier du PESLAU de 85 000 $ pour la phase 1 et de 85 500 $ pour la phase 2.

Résumé du projet

Ce projet vise à favoriser la réussite des étudiants dans le continuum allant du secondaire jusqu’à l’université ou au marché du travail. Pour ce faire, le projet vise à fluidifier la transition entre le secondaire et le collégial ainsi que celle entre le collégial et l’université pour les étudiants qui suivent un ou plusieurs cours de mathématiques dans leur parcours pédagogique.

Dans un premier temps, le projet propose de tenir une consultation sur l’arrimage des contenus théoriques et des pratiques pédagogiques entre des enseignants de différents ordres d’enseignement. De plus, ces rencontres permettront aux participants de développer des médiums mettant de l’avant des pistes de solutions pour favoriser la transition secondaire-collégial et la transition collégial-université.

Dans un deuxième temps, le projet propose de donner la parole aux étudiants afin qu’ils puissent mettre de l’avant les difficultés qu’ils ont vécues dans leur transition. Pour s’y prendre, une série de vidéos et de podcasts présentant des difficultés associées aux méthodes de travail et au changement d’ordre d’enseignement sera produite. Ces vidéos serviront de points d’amorces pour préparer les étudiants du secondaire qui feront le saut dans l’univers collégial.

Objectifs du projet

Bien que le passage vers le collégial soit souvent valorisé par les parents d’étudiants de première génération (ÉPG), ils manquent généralement de connaissances face aux stratégies et aux méthodologies de travail du collégial. Cette réalité peut engendrer des difficultés induites nuisant à la réussite académique, particulièrement dans des disciplines telles que les mathématiques ou le français.

Dans sa structure actuelle, le projet veut favoriser la diffusion d’informations relatives aux stratégies gagnantes et à haute efficacité, ce qui aura un impact dans le cheminement des ÉPG. L’un des objectifs du projet est donc que ces informations et stratégies puissent être enseignées dans les classes du secondaire afin de favoriser l’accessibilité au collégial, la poursuite aux études collégiales et le recrutement des étudiants de première génération.

De plus, à travers la concertation interordre, le projet vise une mutualisation de ressource et le développement de stratégies pédagogiques innovantes.

Équipe du projet

David Boulet St-Jacques, Enseignant en mathématiques et titulaire du projet, Collège Lionel-Groulx.

Émilie Lefebvre-Bertrand, Enseignante en mathématiques, Collège Lionel-Groulx.

Anne-Claire Leroux, Conseillère pédagogique, Centre de services scolaire des Mille-Îles.

Danielle Manitta, Conseillère pédagogique, Centre de services scolaire des Mille-Îles.

Financement reçu

Ce projet a obtenu un soutien financier du PESLAU de 17 144 $

Résumé du projet

En collaboration avec le Carrefour national de l’insertion professionnelle en enseignement (CNIPE), le PESLAU tiendra sa première activité de consultation et d’échange regroupant des acteurs des centres de services scolaires ainsi que des professionnels et des professeurs des établissements d’enseignement supérieur de la région des Laurentides.

Objectifs du projet

Cette consultation sera d’abord menée dans le but de tisser des liens entre les différents acteurs de la région des Laurentides en éducation. De plus, il est souhaité que, lors de cette activité, le PESLAU puisse identifier des pistes concrètes de projets et, ultérieurement, soutenir la mise en œuvre d’initiatives permettant l’amélioration des parcours de formation en enseignement primaire et secondaire.

Équipe du projet

Pôle à l’enseignement supérieur des Laurentides
Carrefour national de l’insertion professionnelle en enseignement

Financement reçu

Ce projet a obtenu un soutien financier du PESLAU de 2 000 $.

Résumé du projet

Le projet vise à promouvoir les sciences, la technologie, les mathématiques et l’informatique (STIM) dans les écoles secondaires des Laurentides afin d’inciter les élèves du secondaire à s’inscrire dans un établissement d’enseignement supérieur dans un domaine relié au STIM, en particulier les femmes.

Phase 1 (hiver 2024): Planification des activités dans les écoles secondaires de la région des Laurentides.

Il s’agit d’entrer en contact les écoles, de planifier les activités en classe et les activités parascolaires en collaboration avec les enseignants et les conseillers d’orientation et de prendre connaissance des outils pour promouvoir la présence des femmes en sciences.

Objectifs du projet

Les activités dans les écoles permettront aux élèves de connaître les opportunités d’emploi en sciences dans la région et de leur faire découvrir les sciences dans un contexte d’enseignement collégial. Cela permettra d’augmenter le recrutement d’étudiants dans les programmes reliés au STIM.

Le projet favorisera la transition entre le secondaire et le collégial. En côtoyant les professeurs du collégial, les élèves du secondaire auront une meilleure vision de la réalité du collégial. Cela permettra aussi d’ouvrir un dialogue avec les enseignants du secondaire. Les enseignants du collégial pourront ainsi mieux comprendre le parcours scolaire de leurs étudiants et les enseignants du secondaire auront une meilleure idée des exigences des établissements d’enseignement supérieur. Cela facilitera l’encadrement des étudiants entrant au cégep.

Équipe du projet

Mathilde Loiselle Davidson, Professeure en mathématiques au cégep de Saint-Jérôme

Financement reçu

La phase 1 du projet a obtenu un soutien financier du PESLAU de 10 000 $.

Projets 2021-2022

Résumé du projet

Le Centre d’aide à la rédaction en ligne (CAREL) est un service de soutien aux compétences rédactionnelles, et a pour objectif d’offrir une rétroaction, des ressources et des conseils aux étudiants(e)s du Cégep de Saint-Jérôme, du Collège Lionel-Groulx et de l’UQO souhaitant améliorer leurs travaux écrits.  Une attention particulière sera accordée aux étudiants(e)s issu(e)s des communautés autochtones, de premières générations, ainsi que ceux et celles suivant la formation à l’enseignement au primaire et au secondaire.  Ce service doit être vu comme un outil supplémentaire pour obtenir du soutien en rédaction.

Cette rétroaction prend donc la forme de pistes de travail qui aideront les étudiant(e)s à générer des idées, à faire leur propre révision, à se créer leur propre boite à outils. Le CAREL transmet une rétroaction formative axée sur les habiletés rédactionnelles de l’étudiant(e) (opportunités d’amélioration, forces) et non pas sur l’interprétation du contenu.

Le CAREL fonctionne en mode asynchrone, ce qui signifie que le travail ne s’effectue pas simultanément ni en personne. Les échanges se font par l’entremise d’un portail électronique, et de courriels.

Objectifs du projet

Le projet vise à renforcer et peaufiner les compétences en rédaction de la collectivité étudiante du Cégep de Saint-Jérôme, du Collège Lionel-Groulx et de l’UQAT, dans une perspective de persévérance et de réussite. Le Centre d’aide à la rédaction en ligne, le CAREL, permettra aux étudiants de niveau collégial et par le fait même ceux qui se dirigent vers des études universitaires, d’acquérir et de perfectionner leurs compétences rédactionnelles dans une perspective de production de travaux écrits respectant les consignes de l’enseignant, ainsi que les différentes composantes d’un texte répondant aux normes d’excellence et de qualité.

Équipe du projet

Marc Landry
Directeur adjoint, Services au étudiants, Université du Québec en Outaouais
Nancy Desjardins
Directrice adjointe aux études, Gestion des programmes, Cégep de Saint-Jérôme

Financement reçu

Ce projet a obtenu un soutien financier du PESLAU de 11 340 $.

Résumé du projet

Le projet collaboratif entre le Cégep de Saint-Jérôme (CSTJ) et l’Université du Québec en Outaouais (UQO) permet aux étudiants des deux institutions de développer leurs compétences coopératives et d’apprendre à travailler en interdisciplinarité dans une situation simulée authentique. Une approche pédagogique socioconstructiviste visant une prise en charge infirmière d’un jeune adulte polytraumatisé qui décompense en post opératoire jusqu’à l’arrêt respiratoire a été mise en place. Cette simulation est planifiée dans la dernière session du programme de soins infirmiers du collège. Au Cégep de Saint-Jérôme, le programme de simulation clinique haute-fidélité représente 34 simulations durant le parcours de trois ans. Les étudiants développent leurs compétences dans un modèle de renforcement positif des apprentissages (Jeffries, PEARLS) qui permet aussi de développer leur estime de soi.

Objectifs du projet

Dans un contexte inclusif, le projet permet de favoriser l’accessibilité à tous aux études supérieures, tant collégiales qu’universitaires, en soins infirmiers. La santé est un milieu en essor. L’importance de la formation continue des infirmières s’inscrit dès le début de la formation. Le contexte innovant du centre de simulation permet de recréer la chambre du patient et d’expérimenter les soins que l’étudiant donnerait en situation authentique. Le CSTJ et l’UQO, par ce projet, contribuent ensemble au développement des infirmières d’aujourd’hui et de demain dans notre région.

Équipe du projet

Annie Denoncourt
Inf. B. SC, M. SC inf., enseignante au CSTJ

Mirelle Beaudet
Inf. B. SC, M. Éd., enseignante au CSTJ

Sylvie Charrette
Inf. B. Sc, M. Éd., Ph. D., professeure à l’UQO

Financement reçu

Ce projet a obtenu un soutien financier du PESLAU de 48 760 $.

Résumé du projet

Phase 1 (année 2022-2023) : élaboration de plans d’action concertés de sécurisation culturelle autochtone dans les cégeps des Laurentides

Phase 2 (année 2023-2024) : mise en œuvre de plans d’action concertés de sécurisation culturelle autochtone dans les cégeps des Laurentides

Visant d’abord la sécurisation de la porte d’entrée des études postsecondaires, soit les cégeps, le projet financera la libération d’une personne par collège afin qu’elles travaillent ensemble et soumettent à leur direction respective un premier plan d’action de sécurisation culturelle autochtone informé, réaliste et cohérent avec les plans d’action des universités et la réalité des Laurentides.

Le projet vise aussi la création du Comité de concertation autochtone qui réunit une ou deux personnes par campus ou institution. Ce comité a pour but de créer un canal de communication où, quatre fois par année, les institutions laurentiennes peuvent s’informer de leurs initiatives respectives et évaluer s’il est possible d’arrimer certaines d’entre elles au bénéfice de tous.

Objectifs du projet

On souhaite inciter les étudiants autochtones à s’engager, à poursuivre et à terminer leurs études supérieures ainsi que valoriser et promouvoir les savoirs, les visions du monde, les cultures et l’histoire des Autochtones auprès des étudiants, des employés, des cadres et du corps professoral.

On souhaite sécuriser les milieux d’enseignement pour en faire des lieux attrayants pour les Autochtones.

On souhaite offrir aux étudiants autochtones des milieux d’enseignement où les membres du personnel connaissent et prennent en compte les réalités autochtones.

On souhaite créer des ponts entre les milieux collégiaux et universitaires des Laurentides pour s’assurer d’une cohérence dans les actions et faciliter la transition des étudiants autochtones, entre autres, par l’organisation conjointe d’activités.

Le développement de plans d’action concertés (UQO, UQAT, Cégep de Saint-Jérôme, Collège Lionel-Groulx), par la mutualisation des ressources et l’échange en continu entre les institutions, mènera à l’atteinte des objectifs présentés ici et favorisera l’accessibilité aux études des étudiants autochtones et leur réussite dans un continuum cégep-université.
Par le fait même, les institutions des Laurentides pourront progresser dans l’application des différentes recommandations des commissions d’enquête.

Équipe du projet

Mélissa Major
Coordonnatrice du projet de sécurisation culturelle autochtone pendant la 1re phase, responsable de l’élaboration du plan d’action pour le Cégep de Saint-Jérôme, membre du Comité de concertation autochtone et professeure au département de français du Cégep de Saint-Jérôme

Annie O’Bomsawin-Bégin
Coordonnatrice du projet de sécurisation culturelle autochtone pendant la 2e phase, responsable de la mise en application du plan d’action pour le Cégep de Saint-Jérôme, membre du Comité de concertation autochtone et professeure au département de philosophie du Cégep de Saint-Jérôme

Julie Routhier
Responsable du plan d’action pour le Collège Lionel-Groulx, responsable de la mise en application du plan d’action pour le Collège-Lionel-Groulx, membre du Comité de concertation autochtone et professeure au département d’anthropologie du Collège Lionel-Groulx

Jean-François Tessier
Membre du Comité de concertation autochtone et professeur au département de philosophie au Centre collégial de Mont-Laurier

Pierre-Hugues Boucher
Participe à l’application du plan d’action au Cégep de Saint-Jérôme, membre du Comité de concertation autochtone et conseiller à la mobilité au Cégep de Saint-Jérôme

Stéphane Lapointe
Membre du Comité de concertation autochtone et directeur du Centre de Mont-Laurier de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue

David Lefrançois
Membre du Comité de concertation autochtone et professeur au département des sciences de l’éducation de l’Université du Québec en Outaouais

Financement reçu

Ce projet a obtenu un soutien financier du PESLAU de 149 250 $ pour la phase 1.

Résumé du projet

Considérant la pénurie de personnel qualifié en relation d’aide dans les Laurentides, le nombre élevé d’élèves de 1ère génération et les besoins particuliers de certains étudiants, il parait important de s’intéresser à ce qui peut faciliter la poursuite des études en éducation spécialisée et en psychoéducation. Nous souhaitons ainsi, dans un premier temps, sonder les étudiants(e)s, finissant(e)s et personnes intéressées par ces professions en relation d’aide afin de générer un portrait des facteurs qui facilitent et qui font obstacle à leur cheminement académique. En parallèle, par le biais d’un sondage, nous allons explorer la manière dont les employeur(euse)s se représentent les différentes disciplines de la relation d’aide. À la lueur de nos résultats, nous pourrons élaborer des outils afin de soutenir le cheminement académique des futur(e)s) étudiants(e)s ainsi que des outils de sensibilisation aux différences entre les professions en relation d’aide. Les fruits de ce projet (ex : capsules d’informations, plateforme d’échanges, infographies, etc.) seront diffusés et pourront être utilisés par les organisations de services et les établissements d’enseignement qui le souhaitent.

Objectifs du projet

Le projet vise notamment à contrer la pénurie de personnel qualifié en relation d’aide, à mieux comprendre la difficulté à accéder aux études postsecondaires et les besoins particuliers des étudiants(e) en technique d’éducation spécialisée (TES). Il semble nécessaire de se pencher sur ce qui faciliterait la poursuite des études des (futures étudiantes en éducation spécialisée et en psychoéducation des Laurentides.  La psychoéducation devrait être un choix logique pour les étudiants(e) en TES qui souhaitent entreprendre des études universitaires (même branche disciplinaire). Toutefois, il semble que différents obstacles (p.ex. méconnaissance des programmes, besoins particuliers) les empêchent de se diriger vers le baccalauréat en psychoéducation. Nous souhaitons identifier ce qui facilite et fait obstacle à la poursuite des études pour finalement construire des outils (recrutement, sensibilisation et soutien) pour faciliter le cheminement académique des futures étudiantes.

Équipe du projet

Vicky Lafantaisie
Professeure, Département de psychoéducation et de psychologie, Université du Québec en Outaouais
Janik Lacelle
Enseignante, Éducation spécialisée, Cégep de Saint-Jérôme

Financement reçu

Ce projet a obtenu un soutien financier du PESLAU de 54 330 $.

Résumé du projet

Poursuivre des études postsecondaires exige un niveau de littératie avancé. Or, le niveau de littératie est fortement corrélé avec la scolarité des parents : les étudiant(e)s de première génération, nombreux(ses) dans les Laurentides, arrivent moins outillé(e)s au postsecondaire. Pour les soutenir, des mesures sont mises en place au Cégep de Saint-Jérôme, au Collège Lionel-Groulx, à l’UQAT Mont-Laurier et à l’UQO Saint-Jérôme, mais elles ne suffisent pas. Par exemple, au Cégep de Saint-Jérôme, où le taux de décrochage est d’environ 40 pour cent, le tiers des étudiant(e)s échoue au moins une fois au premier cours de philosophie, qui repose sur l’écriture de dissertations. Pour soutenir davantage les étudiant(e)s de première génération des Laurentides, il est nécessaire de les accompagner en écriture à l’intérieur même de leurs cours. Or, les enseignant(e)s du postsecondaire, qui sont des spécialistes de leur discipline, ne sont pas des spécialistes de l’écriture et de l’évaluation formative.

Objectifs du projet

Le projet vise à soutenir le développement de la littératie des étudiant(e)s de première génération des Laurentides dans le continuum cégep-université par la mise sur pied d’une communauté d’apprentissage professionnelle qui sera axée sur l’évaluation formative des textes des étudiant(e)s et qui rassemblera des enseignant(e)s du Cégep de Saint-Jérôme, du Collège Lionel-Groulx, de l’UQAT Mont-Laurier et de l’UQO Saint-Jérôme. Les échanges génèreront des savoirs partagés sur les caractéristiques des textes demandés aux étudiant(e)s des Laurentides dans le continuum cégep-université et sur différentes pratiques d’évaluation formative de l’écriture. Le projet inclut également des formations et des bulletins d’information destinés à tout le personnel enseignant des institutions participantes.

Équipe du projet

Sylvie Marcotte
Professeure, Département des sciences de l’éducation, Université du Québec en Outaouais
Guillaume Loignon
Professeur, Département d’éducation et pédagogie, Université du Québec à Montréal

Financement reçu

Ce projet a obtenu un soutien financier du PESLAU de 70 050 $.